Quitte à me faire moquer par Hervé, j’ai acheté (sur le bon conseil d’Alain Presti) le Hors série de Compétence photo, consacré au format RAW. c’est un complément utile à l’ecellent exposé que nous a fait Christophe mardi dernier. Il est divisé en trois chapitres : Flux de travail, développement, finalisation des images. Tout cela avec les logiciels les pluscourants. Un peu cher (9,90 euros), mais moins qu’un bouquin !
3 Réponses
Beatrice
Vous avez sans doute raison Hervé et toi de dire qu’il existe des ouvrages plus complets. Néanmoins le Hors Série en question à le mérite, je pense, d’être un peu moins intimidant et plus à la portée de néophytes en la matière. Il donne des exemples concrets à l’aide de logiciels connus et plus particulièrement Ligthroom. Ca aide à « débroussailler » avant d’aller plus loin, et tout le monde n’a pas le même niveau technique que vous ! Je pense aussi que c’est un bon appui à l’exposé de Christophe.
Tout à fait d’accord cependant si tu veux « t’y coller » pour en faire un article auquel on pourra toujours se référer. Merci d’avance.
Laurent
J’ai moi aussi acheté ce numéro. Seulement, je pense que la cible est mal définie. Il est un peu cher pour un magazine et pas assez complet pour un ouvrage de référence. Comme Hervé, pour bien approfondir ses connaissances du RAW, je pense qu’il vaut mieux acheter de véritables ouvrages qui sont plus complet soit sur les caractéristiques, soit sur le traitement dans le logiciel retenu. Je pense qu’un article sur le blog pour rappeler le cours de Christophe serait suffisant pour comprendre ce format, s’il faut, je veux bien m’y coller.
Photocor
Bonjour,
Mais pourquoi voudriez-vous que je me moque ? Je n’ai pas lu l’article donc pas de jugement de valeur. Je plaisante lorsque les livres se disent « références » alors que le sujet est lié à la subjectivité de leur auteur. Pour le Raw j’ai commencé par l’excellent « Développer ses fichiers Raw » de Volker Gilbert.
Un livre technique s’appuie sur des éléments vérifiables sans aucune interprétation possible. Si l’on dit par exemple qu’il faut d’abord déterminer son espace de travail avant de toucher la photo c’est que cela a une influence sur ce que l’on voit et sur ce que l’on touche. De la même façon il est impératif de régler la température couleur et de supprimer les dominantes avant de toucher à l’exposition puis à la luminosité. Faites l’inverse et regardez votre histogramme et les valeurs moyennes, vous verrez les dégats. Par contre, une fois que c’est fait rien ne vous empêche de bricoler : sous exposer, ajouter une dominante, etc….car vu que vous êtes en format natif, tout est réversible………
Allez, mettez les mains dans le cambouis.